3 questions à… 7 WEEKS
Bonjour les 7 WEEKS.
Votre nouvel album, « Fade Into Blurred Lines« , semble un album très personnel, dans lequel vous livrez de nouvelles émotions, un peu dans la continuité de « Sisyphus ».
Qu’avez-vous eu envie de nous raconter avec ce nouvel opus ?
On aborde des histoires, des trajectoires de gens abîmés, désabusés, le contraire des façades creuses affichées par les gens dans la société aujourd’hui où tout le monde se doit de paraître en pleine forme physique et mentale. On écrit des choses parfois personnelles mais avec des textes assez imagés et donc l’interprétation peut être libre. C’est aussi comment on a voulu le raconter, on a voulu être très authentiques dans le rendu, dans l’interprétation.
Vous avez enregistré votre album en live.
Cet exercice périlleux vous amène-t-il à imaginer et écrire votre musique différemment ?
Ce n’est pas spécialement périlleux, ce devrait être normal finalement. Le but de tout ça est de capturer un moment, un groove particulier, de choisir la prise selon le meilleur « feeling », d’où l’importance d’avoir une personne extérieure aux prises, qui produit, pour juger de ça. Pour se préparer on s’est juste conditionnés à maîtriser les morceaux dans leur dynamique et pas en se disant on doublera ou on fera à part telle ou telle partie.
Quel est votre rituel avant de monter sur scène ?
On raconte des vannes et on se fait un petit cercle tous les 3, rien de très extraordinaire, juste un échange physique avant de se lancer, on s’assure qu’on est connectés 😉
Question subsidiaire : Si vous aviez la possibilité d’exaucer un vœu, lequel serait-ce ?
Que ce soit moins le bordel dans le monde. Notre activité ou même notre condition en tant que musicien reste très négligeable face aux évènements désastreux et inquiétants auxquels on assiste.
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